Pourtant, la torture bien que amorale peut-elle être considérée comme efficace, quand l'on sait que souvent les torturés signeraient n'importe quelle confession afin de faire cesser leurs souffrances?
L'annonce de cet avis juridique de la part de juristes américains nous permet de nous poser la question à savoir, si le président américain n'était pas déjà au courant de ce qui se passait dans les prisons en Irak, puisque toujours selon l'article de l'Associated Press, 4 des mesures de "torture" doivent être approuvées par le secrétaire à la défense.
Il ne faut pas oublié également, que les États-Unis sont signataires en 1984 de la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels inhumains ou dégradants des Nations-Unies.
Pour plusieurs, les États-Unis ont détourné à plusieurs reprises les termes de la Convention, en déportant des "suspects" vers d'autres pays alliés qui n'ont pas signé la Convention afin d'obtenir des informations que les services de renseignements américains peuvent avoir de besoin