Quelques liens en science et technologie:
"Free Software is a matter of liberty not price. You should think of "Free" as in "Free Speech". The Free Software Foundation (FSF), established in 1985, is dedicated to promoting computer users' rights to use, study, copy, modify, and redistribute computer programs."
Comme le dit leur headline, "News for nerds, stuff that matters".
J'ai vécu sans télévision dans mon appartement pendant plus d'un an... et même maintenant que mon coloc en a acheté une, c'est plutôt rare que je la regarde. Un "sondage google" (sans aucune véracité mathématique) me fait dire que c'est déjà pas commun : regardez les 90 résultats (la recherche est multilingue en plus!). La recherche pour "une année sans télévision" retourne un devoir demandé aux étudiants d'une université de Saskatchewan.
Une compagnie canadienne s'est lancée dans la conception d'une fusée permettant de mettre trois passagers en orbite à faible coût. La compagnie prétend que sa technologie va rendre le voyage spatial accessible à des individus.
Richard Matthew Stallman (né à Manhattan, le 16 mars 1953) est le fondateur du mouvement pour les logiciels libres. Il est célèbre pour avoir initié le projet GNU et avoir rédigé la première licence permettant de réglementer la distribution d'un logiciel avec son code source, modifiable (un logiciel libre) : la licence publique générale GNU (GPL). Il a également inventé le concept de Copyleft ("gauche d'auteur").
Stallman fut chercheur informaticien au Massachusetts Institute of Technology (MIT), puis a créé la Free Software Foundation (FSF) en 1983. Longtemps considéré comme le chantre de l'informatique libre, son discours a progressivement paru excessif à de nombreux membres de la communauté des développeurs libres, dont Eric S. Raymond, qui créa l'Open Source Initiative.
Eric Steven Raymond est un hacker célèbre à qui l'on doit notamment la popularisation du terme "open source" par opposition à "free software". Cette divergence terminologique a pour but de souligner une divergence de vues idéologique d'avec Richard M. Stallman et la Free Software Foundation. Alors que ces derniers vantent les mérites plutôt éthiques et philosophiques des logiciels libres, Raymond vante la qualité des logiciels développés de manière libre d'un pur point de vue de la technique informatique.
Torvalds est né à Helsinki, en Finlande, le 28 décembre 1969. Il est à l'origine du système d'exploitation Linux et coordonne aujourd'hui son développement. Inspiré par le système Minix développé par Andrew S. Tanenbaum, il eut l'idée de créer un système d'exploitation qui puisse fonctionner sur son ordinateur personnel. Torvalds a développé les premières versions du système pendant son temps libre, alors qu'il étudiait à l'Université d'Helsinki en 1991.
Contrairement à la majorité des prosélytes de l'Open Source, Linus Torvalds reste relativement discret et refuse généralement de commenter les avantages et inconvénients des autres systèmes d'exploitation, comme le système Windows de Microsoft. Néanmmoins, il a parfois réagi avec force lorsque certains éditeurs de logiciels ont lancé des attaques contre le mouvement du logiciel libre.
Note: Le présent document est distribué sous licence GFDL car il utilise du texte composé sur Wikipedia.
Payer les artistes, pas les « propriétaires » par Eben Moglen. Cet article est une critique lucide de la façon dont les maisons de disque réagissent à la distribution par internet.
Joe savait depuis toujours que travailler allait être pénible. Mais il n’aurait jamais pu imaginer à quel point.
Déjà, en descendant de l’autobus qui le déposait tous les matins devant la Richard & Sons, une sensation atroce l’envahissait. Cela commençait par une légère inquiétude qui perlait, goutte à goutte, sur son cœur mis à vif. Le poison s’infiltrait alors dans son sang, montait tranquillement vers sa gorge et emplissait peu à peu son crâne d’un bourdonnement sourd et grisant. Ainsi, son corps répondait de façon pavlovienne à l’insoutenable harcèlement qui allait bientôt suivre.
Puisqu'il semble y avoir quelques groupes en train d'amorcer des projets similaires dans l'objectif de maximiser l'accès aux moyens de communication, comme Koumbit, ÎleSansFil ou Groovy Network Services, j'aimerais présenter quelques principes fondamentaux au sujet de la nature des réseaux de communication, comment ils peuvent fonctionner et qu'est-ce qu'on peut en faire.
Voici une brève de Radio-Canada International pas mal intéressante. Si quelqu'un trouve le jugement lorsqu'il sortira (c'est supposé être vendredi), on pourrait le mettre ici.
IMPORTANTE DÉCISION SUR LA LOI TOUCHANT LES BREVETS
La Cour Suprême du Canada doit rendre vendredi une importante décision sur la portée de la protection de la loi canadienne sur les brevets. En fait, le plus haut tribunal du pays tranchera dans la cause qui oppose un agriculteur de la Saskatchewan, Percy Schmeiser, à la multinationale Monsanto. Cette dernière a mis au point il y a quelques années, un puissant herbicide, le Roundup, et son contraire, un gène capable de lui résister.
Bon. Juste comme on pensait qu'on était "state of the art", les premiers, etc... Voici que ça passe sur slashdot:
The Face Detector - Roland Piquepaille writes "Almost all human faces have common characteristics, such as two eyes and one mouth. Still, some people, affected by face blindness, ... [Slashdot]
Eh oui! C'est le Magic Bike! Le vélo magique est un vélo normal auquel on a accroché, disons... un portable, une antenne WiFi et un téléphone cellulaire et qui est finalement un "Hot Spot" mobile.
Extrait:
magicbike is a mobile WiFi (wireless Internet) hotspot that gives free Internet connectivity wherever its ridden or parked. By turning a common bicycle into a wireless hotspot, Magicbike explores new delivery and use strategies for wireless networks and modern-day urbanites. Wireless bicycles disappear into the urban fabric and bring Internet to yet unserved spaces and communities. Mixing public art with techno-activism, Magicbikes are perfect for setting up adhoc Internet connectivity for art and culture events, emergency access, public demonstrations, and communities on the struggling end of the digital-divide.