Le groupe FACIL a récemment envoyé une lettre au député de Verdun, Monsieur Henri-François Gautrin, qui est chargé de faire des recommandations sur la mise en oeuvre du Gouvernement en ligne. C'est intéressant et instructif : allez lire ça!
Allez voir cet article: UK: Coca-Cola Admits Dasani is Tap Water
Non seulement on en apprend pas mal sur les bouteilles d'eau Dasani, mais aussi sur tout le marché de l'eau embouteillée, c'est pas mal intéressant.
Voici la procédure pour faire une nouvelle installation de L'Insomniaque sur un serveur donné.
Il est tout à fait possible que ceci ne fonctionne pas correctement, dans lequel cas il faudra immédiatement modifier cette documentation.
Pour faire un merge, ça nous prend un checkout de la branche stable:
$ svn co https://anarcat.ath.cx/svn/inso/branches/stable/
On vérifie la version du dernier merge:
$ cd stable ; svn log | less
r884 | anarcat | 2004-03-28 18:37:20 -0500 (Sun, 28 Mar 2004) | 1 line
merge rev 883 (install defaults) into stable
On vérifie le diff depuis cette version pour voir ce que l'on va "merger":
$ svn diff -r884:886 https://anarcat.ath.cx/svn/inso/trunk/
Le "886", c'est la version courante du repo, on l'obtient quand on fait un checkout:
A stable/core/.htaccess Checked out revision 886.
Si tout est beau, on fait le merge:
$ svn merge -r884:886 https://anarcat.ath.cx/svn/inso/trunk/ U contrib/modules/wiki2xhtml/class.wiki2xhtml.php U contrib/modules/extrafilters/extrafilters.module $ svn status M contrib/modules/wiki2xhtml/class.wiki2xhtml.php M contrib/modules/extrafilters/extrafilters.module
On commit les changements sur la branche stable:
$ svn commit -m 'merge rev 884-886 (filter fixes) into stable' Sending contrib/modules/extrafilters/extrafilters.module Sending contrib/modules/wiki2xhtml/class.wiki2xhtml.php Transmitting file data .. Committed revision 887.
Il est important de mettre le numéro de version que l'on merge pour pouvoir faire les merges futurs plus facilement, jusqu'à ce que subversion supporte l'historique dans les merges.
--
[1] Drupal supporte d'autres DBs, mais c'est MySQL que nous utilisons
[2] ceci implique potentiellement d'avoir Subversion (SVN) d'installé.
[3] Pour faire un checkout sous SVN, on utilise une commande comme: "svn co FOO" où FOO est l'url où se trouve le "repo" du code source.
[4] si le système ne supporte pas les liens symboliques, examiner le fichier makesymlinks.sh et installer les bons fichiers à la bonne place. (Bonne chance)
Je reproduis ici pour référence personnelle et future un extrait très intéressant de "Dieu et l'État" (1882), de Michel Bakounine.
Intéressant phénomène que cette course aux étoiles des humains... La découverte d'une nouvelle planète relance la question de ce qui est une planète et ce qui ne l'est pas. Ceci nous rappelle que Pluton est une planète seulement à cause de politique: c'est la première planète découverte par un américain, et la communauté scientifique américaine a fait d'énorme pressions pour que l'objet soit reconnu comme une planète.[1] C'est maintenant seulement pour ne pas avoir à ré-écrire tous les livres d'école que Pluton demeure une planète.
Pour la plupart des gens qui n'oeuvrent pas dans le domaine de la programmation, le logiciel libre est un concept soit totalement inconnu, soit totalement incompris. Pourtant, les logiciels libres existent depuis le début des années 80. Pour certaines applications, ils prennent une part importante du marché. Par exemple, le serveur web qui roule plus de 50% des sites web dans le monde, Apache, possède une license libre.
La grande majorité des logiciels disponibles à l'heure actuelle sur le marché ont une license non-libre, aussi appelée license propriétaire. Ce type de license protège les droits d'auteur de la compagnie qui a produit le logiciel. La copie du logiciel est formellement interdite.
Tous les logiciels sont définis à l'aide d'un langage de programmation: c'est ce que l'on appele le code source d'un logiciel[1]. En gros, le code source est un peu la "recette" du logiciel. Et la grande majorité des compagnies logiciel préfèrent garder le secret de leur recette.
Le logiciel libre s'oppose radicalement à ce modèle. L'idée vient du fait qu'il existe une différence fondamentale entre le logiciel et les marchandises "physiques" comme les voitures, les souliers et les ordinateurs. C'est qu'une fois programmé, un logiciel peut être copié plusieurs fois pour un prix dérisoire. De plus, garder le code "secret" (ou "fermé") oblige les créateurs de logiciels à tout reprendre du début à chaque fois, ce qui constitue une sérieuse perte de temps et de ressources pour la société.
Enfin, un logiciel à code "fermé", c'est un peu comme une voiture dont on ne pourrait ouvrir le capot: dès qu'il y aurait un problème, on devrait faire affaire directement avec le fabriquant. En conservant secret la mécanique de la voiture, ce dernier s'assurerait un monopole sur la maintenance; on ne pourrait ni réparer soi-même sa voiture (même si on sait comment), ni l'emmener chez son cousin, qui est garagiste. Cela paraît étrange? C'est pourtant la norme actuellement dans l'industrie du logiciel.
En reconnaissant que le logiciel est d'une nature différente, les pionniers du logiciel libre ont eu une idée exceptionnelle qui s'articule autour des principes suivants:
Ce concept tout à fait révolutionnaire s'intègre pourtant tout à fait bien dans un système de marché. Car libre ne veut pas dire gratuit. Même si le code source (et par extension, le logiciel) est disponible gratuitement, il ne vient avec aucune garantie. Il est tout à fait possible de faire payer pour le service de soutien ou pour un CD-Rom avec une belle petite boîte et un manuel d'instructions. Plusieurs projets libres fonctionnent également en partie grâce à des dons.
Le concept de logiciel libre ramène simplement les choses à la normale. Les idées sont là pour être partagées et tenter d'en faire des objets de propriété est non seulement illogique mais antiproductif. En 1813, Thomas Jefferson, l'un des pères de la constitution américaine, écrivait en ces mots à l'un de ses correspondants:
He who receives an idea from me, receives instruction himself without lessening mine; as he who lights his taper at mine, receives light without darkening me. That ideas should freely spread from one to another over the globe, for the moral and mutual instruction of man, and improvement of his condition, seems to have been peculiarly and benevolently designed by nature, when she made them, like fire, expansible over all space, without lessening their density in any point, and like the air in which we breathe, move, and have our physical being, incapable of confinement or exclusive appropriation. Inventions then cannot, in nature, be a subject of property.[2]
--
[1] Par exemple, la page que vous consultez présentement est écrite dans un langage appelé le HTML. Vous pouvez voir son code en sélectionnant l'option "Page Source" dans le menu "View" de votre logiciel. Vous n'y comprenez rien? Normal, si vous n'êtes par programmeur! Mais vous pouvez vous instruire en consultant notre Mini-tutoriel HTML.
[2]
Celui qui reçoit une idée de moi, s'instruit sans diminuer mon instruction ; tout comme celui qui allume sa bougie à la mienne, reçoit la lumière sans m'obscurcir. Le fait que les idées doivent se répandre librement à travers le globe, pour l'instruction morale et mutuelle de l'homme, et pour l'amélioration de son état, semble avoir été singulièrement conçu par la nature bienveillante, quand elle les a faites [les idées], comme le feu, extensibles au-dessus de tout espace, sans diminuer leur densité dans n'importe quel point, et comme l'air que nous respirons, où nous nous déplaçons, et où se trouve notre être physique, incapable d'être prisonnier ou d'être la propriété exlusive d'autrui. Les inventions ne peuvent pas, en nature, être sujettes à la propriété.
Une étude de l'ONU révèle que la construction d'un ordinateur personnel (incluant le moniteur) requiert plus de 1,8 tonnes de matériel brut, incluant:
L'étude propose aux consommateurs d'étendre la durée de vie de leur machine en le mettant à jour. Elle encourage également à récupérer les appareils qui fonctionnent toujours, par exemple en le donnant à des organismes (comme Solinfo international.
Extrait du site web: [...] Île Sans Fil est un groupe communautaire à but non lucratif qui a pour mission de fournir un accès à internet sans fil public et gratuit aux utilisateurs de portables et de PDA à travers la ville de Montréal au Canada. Nous utilisons des logiciels libres et des équipements WIFI abordables pour partager des connections internet à haut-débit[...]
Je sais pas si vous suivez la sage IBM SCO sur ce site Groklaw (vous devriez...il est tres bon). La version francais(traduite) est faite pas mon coloc de cubicule(Denis Carl Robidoux). On peut le consulter ici French Groklaw.
Description du site de French Groklaw: [...] Groklaw c'est Pamela Jones et une armée de volontaires, elle se décrit comme une "paralégale" (quelqu'un qui fait des recherches juridiques) et les articles qu'elle écrit nous en disent long sur comment que ça se passe autant en cours qu'en coulisse
Il y a plusieurs mois déjà SCO jeta une ombre sur la communauté Linux mais une chance que PJ est là pour faire la lumière.[...]
Il y a maintenant 6 mois que le nouveau système informatique pour la gestion du transport des personnes à mobilité réduite est installé à la Société de Transport de Montréal ( STM ). La première semaine de son installation, il y avait si peu de personnes qui pouvaient rejoindre, par téléphone, le service du transport adapté de la STM, afin d'obtenir un transport pour aller à leur traitement médical (ex.: chimiothérapie, radiothérapie, dialyse, etc.), que nous avions pensé avoir deviné la nouvelle devise secrète de la STM.
S i T u M eurs
on - n'est - pas - responsable - !