La langue anglaise est souvent citée comme langue universelle... mais voilà, ceux qui s'en servent comme langue d'échange universelle (mettons, deux ministres du commerce de pays non-anglophones dans une réunion de l'OMC...) n'en ont souvent qu'une connaissance imparfaite.
Alors voilà, cet anglais imparfait, c'est le globish. Jean-Paul Nerrière a formalisée la langue et en a extrait les règles principales : un vocabulaire restreint (1500 mots), des phrases simples (sujet-verbe-complément) qui répètent les mêmes idées plusieurs fois. L'idée, c'est de transformer le fardeau de se faire comprendre en fardeau d'être compris : c'est celui qui parle qui doit faire en sorte de s'exprimer assez simplement pour que son auditeur comprenne... et non pas à l'auditeur de connaître assez bien la langue pour comprendre!
Une nouvelle encyclopédie (même si ça date de janvier 2003) disinfopedia.org. Bâtie sur le modèle (et le logiciel) de wikipedia : Disinfopedia is an open content, WikiWiki encyclopedia of public relations firms, corporate-funded front groups and anti-environmental think tanks.
Allez voir une page au hasard pour vous amuser!
Ou vous pouvez aller lire l'histoire tragico-ironique de John P. O'Neill.
Aujourd'hui 21 juin, jour du solstice d'été, nous célébrons tranquillement le jour de la lenteur.
Si vous êtes à Montréal, il y a un genre de fête au parc Lafontaine (incluant une tranquille activité de tai chi).
Dans le même filon : l'éloge de la lenteur, transcription d'une émission de Jacques Languirand.
Cette journée est certainement une bonne occasion de réfléchir sur le rythme (pas toujours sain) de nos vies.
Prenez votre temps!
Depuis longtemps, je suis indigné du traitement de l’information de Radio-Canada mais aujourd’hui je n’en peux plus! À chaque fois que des enjeux majeurs sont traités par cette institution, on ne peut leur faire confiance, ils ne peuvent être objectifs. Sous prétexte de nous informer, ils tentent de nous manipuler. La couverture des élections fédérales m’oblige à m’insurger publiquement contre cette institution publique fédérale. Radio-Canada tente désespérément par tous les moyens de manipuler l’électorat afin d’assurer que le Parti Libéral reste au pouvoir.
Pourtant, la torture bien que amorale peut-elle être considérée comme efficace, quand l'on sait que souvent les torturés signeraient n'importe quelle confession afin de faire cesser leurs souffrances?
Après le Sommet des Amériques, ceci semble être devenu une lecture indispensable pour n'importe quel citoyen voulant s'informer des risques encourus lors de grandes manifestations. Documentation à propos des balles de platisques, "bean bags", gas lacrymogènes, témoignages d'officiers, dossier bien étoffé.
Le collectif Guatanamo s'est donné pour mission de dénoncer la prison de Guantanamo, véritable "camp de concentration offshore" selon Fausto Giudice, le président du collectif.
Texte de Michel Chartrand pour L'autcourriel (L'autjournal) 29 avril 2004
À partir d’aujourd’hui, nul ouvrier ne doit travailler plus de huit heures par jour. Huit heures de travail, huit heures d’éducation et huit de repos. En 1884, au congrès de Chicago, il a été résolu par la Federation of Organized Trades and Labor of United States and Canada que huit heures de travail constituent, à partir du premier mai 1886, la durée légale de la journée de travail normale.
À Montréal, le capitalisme s’attaque au besoin primaire qu’est celui de se loger. Hé oui, bien des gens oublient que c’est un besoin primaire au même titre que de se nourrir. N’oublions jamais que la règle primaire du capitaliste est d’acheter pour revendre à profit, mais où sont ses limites d’applications? Les besoins primaires ne semblent pas y échapper.
La police de Montréal a reçu le feu vert de l'arrondissement pour l'installation d'un nombre inconnu de caméras de sécurité dans le Quartier Latin, de Sherbrooke à René-Lévesque, entre Sanguinet et Berri, supposément pour contrer la vente de drogue qui s'y tient.
Les commercants réclamaient cette mesure depuis longtemps. Ce qui m'échappe, moi, c'est sa véritable utilité. Tout le monde sait qu'il se vend de la drogue au métro Berri. C'est un fait accompli et connu de tous. De plus, rien n'empêcherait en théorie aux policiers d'arrêter les vendeurs à Berri: ils sont faciles à remarquer, et offrent à haute voix leur marchandise. Un seul agent double pourrait, chaque jour, ramasser un nouveau vendeur. Selon moi, ce n'est pas le but de cette mesure.