Je vais garder une liste des éléments que je n'ai pas réussi à traduire.
Je viens de tomber (presque par hasard) sur le site de l'Unesco, plus précisément sur un discours de Bertrand Russell qui date de 1958, mais qui demeure d'actualité (tout comme cette expression demeure un cliché :-) ).
Attention! Je ne sais pas pourquoi, mais les dates par défaut dans les soumissions sont invalides! J'ai l'impression que ça a rapport avec le fait que notre serveur, oder, a des petits problèmes avec son horloge...
Alors pour le moment, et jusqu'à nouvel ordre, vous devez écrire vous-même la date et l'heure de vos envois dans la case "Écrit le:" de vos soumissions. Le format à respecter est:
exemple: Jan 17, 2003 2:36 pm
L'installation du serveur de l'Insomniaque fut un casse-tête technologique intéressant. Ce blogue traite des différents problèmes rencontrés, et de leurs solutions.
Tout comme Anarcat, je me suis fait une liste des trucs à faire sur le site.
Un article en page 3 du Devoir du lundi 13 janvier nous explique que le "[d]ans la foulée de l'instauration de la police communautaire, en 1997, la direction du SPVM (Service de Police de la Ville de Montréal) a résolu de développer la prise de décision éthique au sein de ce corps policier."
L'article du Devoir demande ainsi avec une certaine futilité si "[u]n policier devant faire une intervention dans une mosquée doit-il se déchausser, comme le veut la coutume dans ce lieu?"
Mise à jour: j'ai trouvé l'article (en fait de la Presse Canadienne) en ligne sur mesnouvelles.com.
Les gens n'iront pas lire le guide juste pour être gentils. Il faut donc créer différents endroits qui lient vers le guide pour stimuler une bonne création.
Je ne comprends pas la différence entre le "type" et la "catégorie". Pourquoi les "blogs" ont seulement un type et les "story" on seulement une catégorie alors que le forum a les deux??
Pourquoi seulement la catégorie apparaît dans les forums?
Il y a des soirs, comme celui-ci, où je me demande jusqu’où les gens vont laisser aller les “grands de ce monde” avant de leur dire: “c’est assez, allez-vous en”.
C’est à la suite de la lecture des propositions de Michael Albert concernant l’économie participative que me vint l’idée d’écrire cet article. A l’automne dernier, j’ai suivi le “cours” on-line sur le site de parecon (1) qui consiste en une série de lectures sur le sujet, au cours desquelles l’activiste bien connu expose les fondements de sa thèse (2). Dans le dernier texte, Albert répond aux différentes attaques faites contre le modèle participatif. L’une de ses affirmations suscita mon attention. Albert répondait par à la question: “Qu’en est-il de l’héritage dans le modèle participatif? Les gens peuvent-ils, dans un modèle qui garantit liberté et équité, disposer librement du fruit de leur travail en en transmettant une partie à leurs enfants?”