Je ne comprend pas l'évaluation du rapport coût/valeur qui est faite par la STM et par le gouvernement (par la société?) du transport en commun.
Je pensais me lancer dans un article complet sur le sujet, mais là, c'est juste trop gros, trop pressant, trop effrayant. Le prix du transport en commun augment sans cesse, les chicanes de clocher nuisent au déploiement nécessaire du train de banlieue, alors même que l'on souffre d'années de retard (pour ne pas parler de décennies!) dans l'installation d'un réseau intégré de transport en commun.
La police attaque des manifestants immigrants pacifiques
Ottawa, 1 juin 2003
L'ampleur de la brutalite policiere contre des manifestants immigrants pacifiques et leurs sympathisants est apparue pleinement vendredi apres leur sortie de prison. Les dix membres du Comite d'action des sans statut et deux alliees de la Campagne Personne n'est illegal de Montreal, Sarita Ahooja et Andrea Schmidt, ont reussi a occuper la reception du bureau du ministre de l'Immigration, Denis Coderre, au 21e etage du ministere de l'Immigration a Ottawa.
Le mois de juillet approche à grands pas, et avec lui, pour la troisième année consécutive, le problème de pénurie de logements à Montréal, à Québec et à Hull refait cruellement surface. On appelle souvent cela la crise du logement (en fait, il s'agit plutôt de la radicalisation d'un manque de logements qu'on ressentait déjà il y a plusieurs années). L'utilisation de cette crise à des fins stratégiques par la classe dominante est très éclairante, de façon générale, sur la crise comme stratégie politique. Voyons voir.
Le tableau d'information nutritionnelle sera semblable sur tous les emballages d'aliments préparés pour prévenir la malnutrition (texte de Radio-Canada).
Le 16 octobre prochain sera lancée la campagne "Fight to win", qui se veut un ensemble d’actions de "perturbation économique" à l’échelle de le province. Grèves, blocages de routes, occupations, l’idée est de nuire de façon significative à la bonne marche de l’économie ontarienne, pour plonger le gouvernement dans une crise politique.
Les visiteurs et visiteuses de la ville de Québec au mois d’avril dernier, lors du Sommet des Amériques, ont peut-être remarqué un certain nombre de tensions entre les grandes centrales syndicales québécoises, co-organisatrices du Sommet des Peuples et de la Marche des Peuples, et la branche plus radicale de l’anti-globalisation, qui confrontait le périmètre de sécurité et la police québécoise. Le texte qui suit, que j’ai écrit en tant que membre de la CLAC, a pour but de mettre en lumière cette tension et de l’expliquer.