Je suis allé voir la conférence Mondialisation, néolibéralisme et non-sens économique lundi le 10 février 2003; donnée par Omar Aktouf, l'un des rares professeurs progressistes des HEC, elle clôturait l'AlternAgora, «une simulation de forum social se déroulant à l'Université de Montréal et à HEC Montréal».
Liste de pointeurs vers des sites ou articles concernant la publicité. Dernière modification : 9 fév. 2003.
Depuis le début du siècle, la production et la consommation dans nos sociétés sont allées en augmentant de façon vertigineuse. Aujourd'hui, plusieurs remettent en question cette société de consommation. En particulier, on critique sa plus fidèle servante: la publicité. On lui reproche à la fois d'être rétrograde, totalitaire, antidémocratique et inutilement coûteuse. Pourtant, le modèle capitaliste lui accorde plutôt d'incroyables vertus cybernétiques. Dans cet article, j'aimerais retourner à l'essentiel et illustrer les contradictions profondes entre le modèle capitaliste néoclassique et la publicité.
Vous connaissez peut-être le site internet : dessciences_sociales/index.html> "Les classiques des sciences sociales".
Cette bibliothèque numérique francophone est le résultat d'un énorme travail bénévole de Jean Marie Tremblay, professeur de sociologie à l'université de Chicoutimi, Québec et de la quinzaine de personnes qui oeuvrent avec lui depuis plus d'un an maintenant. Elle abrite actuellement près de 550 ouvrages classiques, en texte intégral, permettant ainsi un accès facile et gratuit à la connaissance grâce au vaste patrimoine intellectuel qu'elle met à la disposition de chacun.
Je n'ai aucune source à produire à ce sujet mais mon ami Ben qui regardait les nouvelles à Fox il y a quelques jours a vu dans la même semaine:
Un organisme gouvernemental américain de sécurité routiaire dont j'ai oublié le nom a émit une mise en garde sur les dangers reliés à la conduite d'un SUV.
Bush soumet l'idée d'octroyer des subventions plus généreuses au compagnie faisant l'achat de SUVs.
Un texte qui explique pourquoi, à mon avis, les arguments qui défendent les boycotts en tous genres doivent impérativement être déconstruits si nous voulons avoir un changement social véritable et profond.
Les visiteurs et visiteuses de la ville de Québec au mois d’avril dernier, lors du Sommet des Amériques, ont peut-être remarqué un certain nombre de tensions entre les grandes centrales syndicales québécoises, co-organisatrices du Sommet des Peuples et de la Marche des Peuples, et la branche plus radicale de l’anti-globalisation, qui confrontait le périmètre de sécurité et la police québécoise. Le texte qui suit, que j’ai écrit en tant que membre de la CLAC, a pour but de mettre en lumière cette tension et de l’expliquer.
Si tout va comme les investisseurs et gouvernements des Amériques le souhaitent, en l’an 2005, tous les pays des Amériques sauf Cuba, donc 34 sur 35, formeront une Zone de Libre-Échange. Beaucoup d’individus et de groupes à travers les Amériques sont hostiles à la future Zone de Libre-Échange des Amériques. Pour mieux comprendre comment la ZLÉA menace les peuples des Amériques, je crois qu’il est salutaire d’observer ce qui s’est mis en place en 1994, lorsque l’ALENA, l’Accord de Libre-Échange Nord-Américain, est entré en vigueur.
Le 27 juin dernier, les gouvernements des 29 pays membres de l’OCDE, cette importante pièce de ’outillage de l’ONU pour la légitimisation du commerce international, cosignent un document intitulé « Principes directeurs de l'OCDE à l'intention des entreprises multinationales ». Fruit d’un travail de longue haleine, ce document somme toute assez bref propose aux entreprises multinationales de développer des stratégies dans une optique humanitaire. Portrait d’un gaspillage de talent, de temps et d’argent.
C’est à la suite de la lecture des propositions de Michael Albert concernant l’économie participative que me vint l’idée d’écrire cet article. A l’automne dernier, j’ai suivi le “cours” on-line sur le site de parecon (1) qui consiste en une série de lectures sur le sujet, au cours desquelles l’activiste bien connu expose les fondements de sa thèse (2). Dans le dernier texte, Albert répond aux différentes attaques faites contre le modèle participatif. L’une de ses affirmations suscita mon attention. Albert répondait par à la question: “Qu’en est-il de l’héritage dans le modèle participatif? Les gens peuvent-ils, dans un modèle qui garantit liberté et équité, disposer librement du fruit de leur travail en en transmettant une partie à leurs enfants?”