D'avril à juillet 1994, 800 000 Rwandais (Tutsi et Hutu modérés) sont massacrés par les milices Hutus. À l'occasion du triste 10e anniversaire du génocide, les Nations Unies ont récemment reconnu leur responsabilité dans ce conflit.
À Montréal, le capitalisme s’attaque au besoin primaire qu’est celui de se loger. Hé oui, bien des gens oublient que c’est un besoin primaire au même titre que de se nourrir. N’oublions jamais que la règle primaire du capitaliste est d’acheter pour revendre à profit, mais où sont ses limites d’applications? Les besoins primaires ne semblent pas y échapper.
La police de Montréal a reçu le feu vert de l'arrondissement pour l'installation d'un nombre inconnu de caméras de sécurité dans le Quartier Latin, de Sherbrooke à René-Lévesque, entre Sanguinet et Berri, supposément pour contrer la vente de drogue qui s'y tient.
Les commercants réclamaient cette mesure depuis longtemps. Ce qui m'échappe, moi, c'est sa véritable utilité. Tout le monde sait qu'il se vend de la drogue au métro Berri. C'est un fait accompli et connu de tous. De plus, rien n'empêcherait en théorie aux policiers d'arrêter les vendeurs à Berri: ils sont faciles à remarquer, et offrent à haute voix leur marchandise. Un seul agent double pourrait, chaque jour, ramasser un nouveau vendeur. Selon moi, ce n'est pas le but de cette mesure.
Dans ce texte, j'aimerais attirer votre attention sur un article de La Presse du 16 février dernier et un communiqué de l'Institut économique de Montréal, à propos du débat sur la hausse des frais de scolarité à l'université. On y verra que les arguments utilisés par les néolibéraux font souvent appel à des sophismes, et qu'en cela, ils ne sont pas très différents de leurs arguments habituels. C'est pourquoi, tout au long de l'article, j'essaierai de relier ces sophismes à l'idéologie néolibérale en général.
En octobre dernier, j’assistais à l’assemblée générale du Bureau d’animation et information logement (Le BAIL) qui est une organisation de défense des droits des locataires dans le Québec métro.
À cette rencontre on a bien entendu parler de la crise du logement et du problème du manque de logements sociaux, c’est alors qu’un intervenant a lancé la question suivante : « Pourquoi ne demanderait-on pas au Fonds de solidarité de la FTQ et au Fondaction de la CSN d’investir dans le logement social? »
Il y a maintenant 6 mois que le nouveau système informatique pour la gestion du transport des personnes à mobilité réduite est installé à la Société de Transport de Montréal ( STM ). La première semaine de son installation, il y avait si peu de personnes qui pouvaient rejoindre, par téléphone, le service du transport adapté de la STM, afin d'obtenir un transport pour aller à leur traitement médical (ex.: chimiothérapie, radiothérapie, dialyse, etc.), que nous avions pensé avoir deviné la nouvelle devise secrète de la STM.
S i T u M eurs
on - n'est - pas - responsable - !
Que se passe-t-il en Haiti? Un coup d'état? Soulèvement populaire? Révolution? Putsch commandité par la CIA? Pendant que la confusion s'installe de notre côté de l'écran, que se passe-t-il encore au sud de la Florida?
Voici quelques informations sur ce qui est en train de se passer concernant la forêt du Grand Coteau, ce bois que la Mairesse de la ville de Rosemère veut mordicus faire couper afin d'obtenir plus de taxes municipales.
Notez que cette parcelle de forêt est la dernière des environs au nord de Montréal et que c'est un vestige de la forêt qui poussait dans les Basses-terres avant l'arrivée des premiers Européens... La forêt de Grand Coteau occupe aujourd'hui une place importante pour les résidantEs de la MRC Thérèse-de-Blainville étant donné sa qualité et sa grande valeur écologique et qu'une mobilisation citoyenne est en train de s'enclencher afin de la sauver.
On ne cesse de le répéter: le siècle dans lequel nous venons d'entrer sera celui des biotechnologies. Et, par le fait même, celui de la bioéthique. Dans un monde ultra technologisé, où le mantra « c'est technologique donc c'est bien » est répété à s'en rompre le gosier par les choristes allègres de l'économie de marché, nous serons bientôt confrontés à une forte pression sociale ayant pour objectif ni plus ni moins que la modification de l'espèce humaine. Mais qu'y a-t-il de mal à cela, après tout?
Avec le premier anniversaire du renouveau du journal, les bilans et la nostalgie refont surface. C'est que, au fil du temps, L'Insomniaque a maintes fois modifié son allure sur le web. Ceci est un aperçu de cette tumultueuse histoire au travers de l'évolution du design graphique du site.