En magnifique jour d'élections, je propose une série de liens vers des organisations et des documents ayant trait à la démocratie représentative vs la démocratie directe ou participative.
Juste une mention rapide pour ceux qui ne seraient pas au courant de cet événement: "Malgré les apparences ce n'est pas un poisson d'avril, NonADQ a reçu une lettre d'une avocate du bureau du Directeur des élections nous demandant de fermer notre site pour la durée de la campagne électorale. Il est clair que cette demande représente, pour nous, une grave attaque non seulement à la liberté d'expression en général mais aussi à la liberté d'expression sur le réseau Internet." - NonADQ.com
Mercredi 09/04/03 Conférence / Débat 12 h 30 à 14 h 00La démocratie c'est le mal ! À l'occasion de la publication du dernier ouvrage de Marc Angenot Josiane BOULAD-AYOUB (uqam), présidente Marc ANGENOT (u. mc gill), conférencier Dorval Brunelle (uqam), « avocat du diable »ENTRÉE LIBRE La séance a lieu à la salle W-5215 pavillon Thérèse-Casgrain, UQAM
Ce texte, comme son titre l'indique, est un essai sur ce sujet. Bien des questions sont encore à répondre en cette matière et je m'attends à ce que vous collaboriez à mes réflexions.
Dans des moments comme ceux que nous vivons, il me semble particulièrement important de s'assurer de ne pas faire d'erreurs au niveau des positions politiques que l'on choisit d'adopter. Il y a, à mon avis, une erreur que nous devons nous garder de commettre, même si elle est tentante, et c'est celle d'être antiaméricainEs. Le texte qui suit cherche à expliquer pourquoi.
Une conception de l'anarchie ne saurait être sémantiquement correcte sans tenir compte des concepts de responsabilité et de liberté. À mon avis, ces concepts sont l'essence même de l'anarchie.
Ce texte tente de définir l'anarchie en définissant ces (ses) deux concepts sous-jacents.
Une des pratiques qui m'agace le plus chez nos politiciens et voisins du sud, c'est cette manie qu'ils ont de foutre tous leurs principes en l'air quand ça leur convient, tout en s'offensant qu'on puisse les remettre en question en d'autres temps.
Depuis le début du siècle, la production et la consommation dans nos sociétés sont allées en augmentant de façon vertigineuse. Aujourd'hui, plusieurs remettent en question cette société de consommation. En particulier, on critique sa plus fidèle servante: la publicité. On lui reproche à la fois d'être rétrograde, totalitaire, antidémocratique et inutilement coûteuse. Pourtant, le modèle capitaliste lui accorde plutôt d'incroyables vertus cybernétiques. Dans cet article, j'aimerais retourner à l'essentiel et illustrer les contradictions profondes entre le modèle capitaliste néoclassique et la publicité.
Je viens de tomber (presque par hasard) sur le site de l'Unesco, plus précisément sur un discours de Bertrand Russell qui date de 1958, mais qui demeure d'actualité (tout comme cette expression demeure un cliché :-) ).
Connaissez-vous l’Objectivisme? Je veux parler d’une doctrine philosophique instituée par Ayn Rand qui a œuvré principalement aux Etats-Unis des années 30 aux années 50 qui adopte comme fondement la philosophie de Platon, s’opposant fermement aux post-Aristotéliciens et aux post-Kantiens qu’elle accuse d’avoir tué la philosophie.