J'ai participé à la manif à Genève, dimanche dernier, le 1er juin, contre le sommet du G8 à Évian. Je consigne ici mes impressions, si ça peut intéresser quelqu'un...
Le mois de juillet approche à grands pas, et avec lui, pour la troisième année consécutive, le problème de pénurie de logements à Montréal, à Québec et à Hull refait cruellement surface. On appelle souvent cela la crise du logement (en fait, il s'agit plutôt de la radicalisation d'un manque de logements qu'on ressentait déjà il y a plusieurs années). L'utilisation de cette crise à des fins stratégiques par la classe dominante est très éclairante, de façon générale, sur la crise comme stratégie politique. Voyons voir.
La culture au Québec a souvent été présentée comme un joyau précieux qu'il nous faut conserver. Le multiculturalisme de Montréal, ses multitudes de bars et salles de spectacles, l'histoire respirant dans les murs des métropoles... les Québécois sont fiers de leur univers.
Ceci a bien changé.
"Ils ont attaché un fil électrique à mon pénis et l'autre bout est [sic] attaché à un moteur électrique. L'un des hommes de la sécurité frappait mes pieds avec un câcle. Des chocs électriques ont été appliqués régulièrement ["every few minutes"] et ont été augmentés. J'ai dû rester suspendu pendant plus d'une heure. J'ai perdu conscience. Ils m'ont emmené dans une autre pièce et m'ont fait marcher bien que mes pieds étaient enflés par les coups... Ils ont répété cette méthode quelques fois."
Dans des moments comme ceux que nous vivons, il me semble particulièrement important de s'assurer de ne pas faire d'erreurs au niveau des positions politiques que l'on choisit d'adopter. Il y a, à mon avis, une erreur que nous devons nous garder de commettre, même si elle est tentante, et c'est celle d'être antiaméricainEs. Le texte qui suit cherche à expliquer pourquoi.
La résolution qu'a réclamée Washington au Conseil de sécurité de l'ONU exige de Bagdad une coopération totale avec les inspecteurs en désarmement et prévoit, dans le cas contraire, une intervention militaire. Pour être adoptée, une résolution doit récolter l'appui de 9 des 15 pays membres. Pour l'instant, 11 des 15 pays membres du Conseil de sécurité se sont prononcés pour une prolongation de la mission des inspecteurs de l'ONU en Irak. Les États-Unis ne peuvent compter, pour l'instant, que sur les voix de la Grande-Bretagne et de l'Espagne, et peut-être celle de la Bulgarie. Cinq pays se sont prononcés résolument pour une poursuite des inspections en Irak : la France, la Russie, la Chine, l'Allemagne et la Syrie.
Il est parfois difficile de déterminer à quel point les intérêts de certains grands acteurs économiques influencent les positions politiques des gouvernements. Lorsque les objectifs des gouvernements et des entreprises privées se rejoignent, on assiste parfois à des opérations majeures visant à configurer à la fois des systèmes économiques et politiques afin qu’ils s’harmonisent mieux aux intérêts de ces deux sphères de pouvoir. C’est de ce type de réflexion dont je m’inspirerai afin de mieux comprendre pourquoi les multinationales américaines que sont l’ITT, la Kennecott et l’Anaconda, ont participé avec le gouvernement américain et la C.I.A., à l’étranglement économique du Chili sous Allende et au coup d’État qui amena Augusto Pinochet au pouvoir en 1973. Je soutiendrai dans cet ouvrage que les politiques de nationalisation de Allende ont heurté les intérêts économiques privés de ces entreprises, ce qui explique leur participation à cette opération. Je présenterai d’abord la situation de ces entreprises face au pouvoir politique chilien avant le gouvernement de Allende, pour ensuite expliquer en quoi consistaient les politiques de nationalisation de Allende. Puis, je détaillerai les intérêts de ces trois sociétés, pour finalement décrire quelle fut leur contribution effective.
Premièrement, cet article présente plusieurs faits qui nous suggèrent fortement l’existence d’un plan caché derrière l’obsession de l’administration Bush de vouloir entrer en guerre contre l’Irak. Ensuite, je présenterai et commenterai brièvement quatre théories populaires expliquant les réelles motivations américaines. Pour conclure, je présenterai ma vision du conflit dans la perspective des intérêts économiques américains.
Je n'ai aucune source à produire à ce sujet mais mon ami Ben qui regardait les nouvelles à Fox il y a quelques jours a vu dans la même semaine:
Un organisme gouvernemental américain de sécurité routiaire dont j'ai oublié le nom a émit une mise en garde sur les dangers reliés à la conduite d'un SUV.
Bush soumet l'idée d'octroyer des subventions plus généreuses au compagnie faisant l'achat de SUVs.
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