Une conception de l'anarchie ne saurait être sémantiquement correcte sans tenir compte des concepts de responsabilité et de liberté. À mon avis, ces concepts sont l'essence même de l'anarchie.
Ce texte tente de définir l'anarchie en définissant ces (ses) deux concepts sous-jacents.
J'ai participé avec un bonheur congelé à la manifestation du 15 février organisée par le Collectif Échec à la guerre, qui a réuni, paraît-il, près de 150000 personnes. Cette manifestation m'a inspiré trois réflexions que je voudrais partager ici avec vous.
Je suis allé voir la conférence Mondialisation, néolibéralisme et non-sens économique lundi le 10 février 2003; donnée par Omar Aktouf, l'un des rares professeurs progressistes des HEC, elle clôturait l'AlternAgora, «une simulation de forum social se déroulant à l'Université de Montréal et à HEC Montréal».
Une des pratiques qui m'agace le plus chez nos politiciens et voisins du sud, c'est cette manie qu'ils ont de foutre tous leurs principes en l'air quand ça leur convient, tout en s'offensant qu'on puisse les remettre en question en d'autres temps.
Kevin est sorti de prison après 9 ans de détention, pour "cyberterrorisme". Et il a répondu aux questions de Slashdot. Interview intéressant, pour quiconque s'intéresse à la sécurité informatique ou même simplement aux droits civiques aux USA.
Depuis le début du siècle, la production et la consommation dans nos sociétés sont allées en augmentant de façon vertigineuse. Aujourd'hui, plusieurs remettent en question cette société de consommation. En particulier, on critique sa plus fidèle servante: la publicité. On lui reproche à la fois d'être rétrograde, totalitaire, antidémocratique et inutilement coûteuse. Pourtant, le modèle capitaliste lui accorde plutôt d'incroyables vertus cybernétiques. Dans cet article, j'aimerais retourner à l'essentiel et illustrer les contradictions profondes entre le modèle capitaliste néoclassique et la publicité.
Les anciens articles de l'Insomniaque reviennent peu à peu en ligne, et de nouveaux articles voient également le jour. L'Insomniaque reprend vie!
La liste qui suit sera mise à jour à mesure que les anciens articles entrent sur le site.
Il est parfois difficile de déterminer à quel point les intérêts de certains grands acteurs économiques influencent les positions politiques des gouvernements. Lorsque les objectifs des gouvernements et des entreprises privées se rejoignent, on assiste parfois à des opérations majeures visant à configurer à la fois des systèmes économiques et politiques afin qu’ils s’harmonisent mieux aux intérêts de ces deux sphères de pouvoir. C’est de ce type de réflexion dont je m’inspirerai afin de mieux comprendre pourquoi les multinationales américaines que sont l’ITT, la Kennecott et l’Anaconda, ont participé avec le gouvernement américain et la C.I.A., à l’étranglement économique du Chili sous Allende et au coup d’État qui amena Augusto Pinochet au pouvoir en 1973. Je soutiendrai dans cet ouvrage que les politiques de nationalisation de Allende ont heurté les intérêts économiques privés de ces entreprises, ce qui explique leur participation à cette opération. Je présenterai d’abord la situation de ces entreprises face au pouvoir politique chilien avant le gouvernement de Allende, pour ensuite expliquer en quoi consistaient les politiques de nationalisation de Allende. Puis, je détaillerai les intérêts de ces trois sociétés, pour finalement décrire quelle fut leur contribution effective.
De plus en plus, je m’intéresse à la propagande médiatique et plus particulièrement au niveau américain. WABC[1], la radio d’ABC de New-York, présente tous les jours de la semaine une émission de discussions de 15h00 à 18h00 animée par Sean Hannity. J’ai écouté son émission du vendredi 24 janvier. J’ai été estomaqué par plusieurs de ses réflexions.
Une majorité d’auditeurs (~70%) lui ont indiqué leur indignation face à la politique américaine concernant le comportement de leur gouvernement envers l’ONU.
Premièrement, cet article présente plusieurs faits qui nous suggèrent fortement l’existence d’un plan caché derrière l’obsession de l’administration Bush de vouloir entrer en guerre contre l’Irak. Ensuite, je présenterai et commenterai brièvement quatre théories populaires expliquant les réelles motivations américaines. Pour conclure, je présenterai ma vision du conflit dans la perspective des intérêts économiques américains.